À la fin des années 90, avec la commercialisation de la Classe A et l’élargissement de la gamme, un vent nouveau souffle sur la marque Mercedes. La firme germanique sort l’élégante CLK qui reprend les doubles phares rond de sa Classe E (W210) commercialisée quelques années plus tôt. Ce nouveau modèle aux lignes harmonieuses et sportives n’existant au départ qu’en coupé, apparait en cabriolet à partir de 1999. Bien que stylistiquement inspiré par la classe E, Il repose sur la plate-forme de la Mercedes-Benz Classe C.
Deux générations de CLK, la E208 et la E209 :
La CLK propose des moteurs essence allant du 4 cylindres 2,0 litres de 136 ch au V8 6,3 litres de 481 ch. En plus des moteurs essence, la deuxième génération de la CLK [E209] propose aussi des moteurs diesel avec injection par rampe commune allant de 150 ch à 224 ch pour le V6 3 litres.
E208 (1997-2003) : La W208 reprend la face avant de la classe E [W210] mais elle repose sur le châssis de la classe C [W202]. Les motorisation exclusivement essence sont les 2.0L 136/163 ch, 2.3L 193/197ch, 3.2L 220 ch, 4.3L 279 ch et 5.4L 347ch (sur la 55 AMG). Cette dernière est une véritable GT dont le moteur V8 rappelle les grosses cylindrées américaines. La boîte auto est imposée, car nécessaire pour passer le couple au sol avec sérénité.
E209 (2003-2010) : repose sur le châssis de la classe C [W203], et remplace la génération précédente à partir de 2002 (2003 pour le cabriolet). C’est le premier coupé allemand propulsé par un moteur diesel (la Peugeot 406 Coupé 2.2 HDi sorti quelques années plus tôt étant précurseur dans ce domaine). Cette combinaison mélangeant sportivité et économie a été rendu possible grâce au moteur diesel Common Rail, désigné sous le nom de CDI chez Mercedes. Les différents moteurs sont en essence les 1.8L 184 ch, 2.3L 197 ch, 2.6L 170 ch, 3.0L 231 ch, 3.5L 272 ch, 5.5L 367/387 ch et 6.2L 481 ch et en diesel les 2.2L 150 ch, 2.7L 170 ch et 3.0L 224 ch.
Ce film est une comédie dramatique américaine sortie en 1997 et réalisée par Gus Van Sant, qui met en vedette Robin Williams, Matt Damon, Ben Affleck, Minnie Driver et Stellan Skarsgård. Le scénario coécrit par Affleck et Damon raconte l’histoire de Will Hunting (joué par Damon), un jeune homme vivant dans la banlieue sud de Boston, Massachusetts. C’est un véritable génie des mathématiques ainsi qu’un prodige autodidacte, mais il cache ses talents et se contente d’un poste d’employé de ménage au célèbre Massachusetts Institute of Technology. Habitué à la violence et extrêmement fidèle à ses amis Chuckie (Ben Affleck), Morgan (Casey Affleck) et Billy (Cole Hauser), Will a jusque là repoussé les gens qui ont essayé de se rapprocher de lui en raison de son passé d’orphelin maltraité et de sa personnalité introvertie.
Après avoir résolu anonymement deux équations mathématiques extrêmement complexes écrites sur un tableau dans un couloir du campus (un exercice d’algèbre matricielle et des diagrammes de Dynkin), Will est finalement découvert par celui qui les a proposés à ses élèves, le Professeur Gerald Lambeau (Stellan Skarsgard), un mathématicien de haut vol, lauréat de la médaille Fields (le prix Nobel des mathématiciens). Mais suite à des actes de violence, Will s’est fait incarcérer. Lambeau le fait sortir de prison à condition qu’il travaille avec lui et qu’il suive une thérapie avec un de ses amis psychiatre, Sean Maguire (Robin Williams). Parallèlement, Will entame une relation avec une étudiante en médecine, la belle Skylar (Minnie Driver), qui affronte également ses propres problèmes personnels. Will doit apprendre à surmonter sa profonde peur de l’abandon (avec l’aide de Maguire) afin de parvenir à faire confiance et à aimer les gens pour qui il compte…
Will Hunting a remporté deux Oscars, le meilleur scénario original pour Affleck et Damon et le meilleur second rôle pour Williams. Ce film est superbe et très émouvant. Les dialogues sont excellents, notamment cet entretient d’embauche hallucinant dans lequel Will explique à ses recruteurs pourquoi il refuse de travailler pour eux :
Le recruteur : La question n’est pas : pourquoi travailler pour la NSA ? La question est : pourquoi pas ? Will : Pourquoi je travaillerais pas pour la NSA ? Ça, c’est une colle. Je vais essayer d’y répondre. Disons que je travaille à la NSA et qu’on dépose un code sur mon bureau, un code réputé inviolable. Mettons que je tente ma chance et mettons que je le déchiffre. Là, je suis très content de moi parce que j’ai bien fait mon boulot mais c’était peut-être le code de l’emplacement d’une armée rebelle au Moyen Orient ou en Afrique du Nord. Et une fois qu’on a repéré le lieu, on bombarde le village où les rebelles se cachent et 1500 personnes que j’ai jamais vu, qui ne m’ont jamais rien fait sont tuées. Et les politiciens ils disent : « Envoyez les marines assurer la sécurité » parce qu’ils en ont rien à foutre. C’est pas leurs gosses qu’ils envoient se faire descendre. Comme eux, ils ont jamais été au feu parce qu’ils étaient tous planqués dans la garde nationale. C’est un pauvre môme de Boston Sud qui se prend un shrapnel dans les fesses. Et il revient pour apprendre que l’usine où il travaillait s’est exportée dans le pays d’où il vient d’arriver. Et le mec qui lui a filé le shrapnel dans le cul, c’est lui qui a son job, parce qu’il bosse pour 15 cents par jour sans pause pipi. Maintenant il comprend que la seule raison qu’il y avait de l’envoyer là-bas, c’était de mettre en place un gouvernement qui nous vendrait le pétrole pour pas cher. Et bien sûr les compagnies pétrolières exploitent le conflit qu’il y a eu pour faire monter leur prix et se faire du même coup un beau p’tit bénef’. Mais ça aide pas mon pote qui travaille pour des clous. Ils trainent un max à livrer le pétrole bien sûr. Peut-être même qu’ils vont employer un alcoolique comme capitaine, un buveur de Martini qui s’amuse à faire du slalom entre les icebergs. Jusqu’au jour où il en frappe un. Le pétrole se déverse et ça tue toute vie dans l’Atlantique Nord. Alors là, mon pote est chômeur. Il peut pas se payer de voiture et c’est à pied qu’il se cherche des jobs. Ce qui est pas marrant parce que le shrapnel qu’il a eu dans le cul lui a filé des hémorroïdes. Et puis en plus, il crève de faim parce qu’à la soupe populaire on lui propose comme plat du jour de la morue de l’Atlantique Nord avec de l’huile de moteur. Alors qu’est-ce que j’en pense ? Je vais attendre une offre meilleure. Je me dis, « putain, je ferais peut-être aussi bien de descendre mon pote, prendre son job, le filer à son pire ennemi, faire monter les prix, bombarder, tuer des bébés phoques, fumer de l’herbe, m’engager dans la Garde Nationale. Et je serais peut-être élu Président. »
Matt Damon, Will Hunting (1997), écrit par Matt Damon et Ben Affleck.
Voir sur YouTube : « Will Hunting (Good Will Hunting) – Bande Annonce » par tchernomush
Anggun est une chanteuse franco-indonésienne née à Jakarta qui s’est inspirée de la musique javanaise native ainsi que d’icônes du rock comme Elvis Presley pour créer son style. Elle a commencé à jouer à l’âge de sept ans et a enregistré son premier album seulement deux ans plus tard. Mais Anggun, estimant que le public l’a déjà cataloguée comme une chanteuse rock, monte son propre label discographique à l’âge de 19 ans afin de pouvoir choisir elle-même ses collaborateurs et sélectionner son répertoire. Au début des années 90, alors qu’elle était déjà devenue l’artiste la plus populaire du pays, elle cherche le succès international et déménage à Londres et plus tard à Paris pour commencer à enregistrer, avec l’aide du producteur Erick Benzi (dont les crédits s’étendent de Celine Dion à Jean-Jacques Goldman et Johnny Hallyday), l’album Au Nom de la Lune qui est sorti en 1998 chez Epic Records. Cet album lui a permis de faire une percée dans les charts européens, notamment grâce au single à succès « La Neige au Sahara ».
Au Nom de la Lune (1997) : L’album a été influencé par l’ethno-dance (notamment Deep Forest) et par la chanteuse Julia Fordham, très populaire à l’époque. Paru en France le 24 juin 1997, l’abum sort en Indonésie sous le nom Anggun et en version internationale sous le nom Snow On the Sahara. Cet album est distribué plus tard à l’échelle mondiale dans 33 pays par Sony Music International de la fin de 1997 jusqu’au début de 1999.
La version française de l’album « Au nom de la lune » contient les trois principaux singles « La neige au Sahara », « La rose des vents » et « Au nom de la lune », ainsi qu’un single promotionnel « La ligne des sens », alors que la version anglaise contient deux singles « Snow on the Sahara » et « A Rose in the Wind », ainsi que quatre singles promotionnels « Life on Mars » aux États-Unis, « Memory of Your Shores » en Europe, « Dream of Me » pour le Japon et « Kembali » pour l’Indonésie et la Malaisie. L’album est un succès et ouvre les portes d’un succès international à la chanteuse. L’Album a réussi à se vendre à plus d’un million d’exemplaires dans le monde entier et à obtenir la certification diamant. L’album a également vendu plus de 120.000 exemplaires aux États-Unis.
Désirs contraires (2000) : Cet album a été produit par Erick Benzi, mais cette fois c’est Anggun qui a écrit toutes les paroles des chansons en anglais. Il a remporté un certain succès auprès du public international. Cet album a été 3 fois disque de platine en Indonésie et a même été disque d’or en Italie en un peu plus d’une semaine. Cependant, en France l’album n’est resté que deux semaines dans le classement des meilleures ventes. La version française de cet album contient trois singles, à savoir « Un geste d’amour », « Derrière la porte », et « Tu mens ». Tandis que la version anglaise en contient deux, « Still Reminds Me » et « Chrysalis ».
Discographie :
1986 : Dunia Aku Punya
1991 : Anak Putih Abu-Abu
1992 : Nocturno
1993 : Anggun C. Sasmi… Lah!!! 1997 : Au nom de la lune
2000 : Désirs contraires
2002 : Open Hearts (Album BO du film Open Heart)
2005 : Luminescence
2008 : Elévation
2011 : Echoes
2015 : Toujours un ailleurs
Voir sur YouTube : « Anggun _ La neige au Sahara » par Yui4love ; « La Rose Des Vents (Anggun Channel Video) » par Budi Firman ; « ANGGUN DERRIERE LA PORTE » par Jean Baptiste Erreca
À sa sortie, avec son modeste moteur 1,8L développant 115 ch (ou 140 ch pour le nouveau bloc 1,9L à 16 soupapes), la BMW Z3 n’était pas un bolide de course, mais une découvrable dont l’ambition visait à procurer du plaisir de conduite à un prix très compétitif. Sa ligne très réussie s’inspirait des merveilleuses BMW 507 d’antan (un roadster GT de prestige, construit en petite série de 254 unités entre 1955 et 1959). Ce fut le premier véhicule BMW à être construit hors de l’Allemagne, aux États-Unis, à l’usine de Spartanburg, en Caroline du Sud. L’année de sa sortie, la Z3 fut choisi comme véhicule pour James Bond (ici joué par Pierce Brosnan), dans le film Goldeneye. Le coupé quant à lui, fut commercialisé trois ans plus tard, à partir de 1998.
Des motorisations variées :
La Z3 a su évoluer par de discrètes opérations de restyling qui n’ont pas dénaturé son design extraordinaire. La motorisation évolue au fil des années : après les 4 cylindres 1,8 et 1,9L, apparaissent les 6 cylindres en ligne 2.2L de 170ch (2000-2002), 2,8L de 192 ch (1998-2002), 3L de 231ch (2000-2002) et enfin 3,2L M de 321ch (1997-2002). Le modèle M (« M » comme Motorsport, la filiale de BMW dédiée à la compétition automobile) est livrable en roadster (bien plus puissant que le modèle de base), ou en coupé.
Une version M très musclée :
Alors que le Z est en production depuis septembre 1995, le roadster « M » a été présenté en 1996 au Salon de Genève et le Coupé « M », au salon de Frankfort en 1997. Ils ont été déclinés en trois versions commercialisées entre 1997 et 2002 (1998 et 2002 pour le coupé) : la M de 1997-2000, la M US de 1997-2000 et la M S54 de 2001-2002. La Z3 « M » se distingue par un design extérieur différent (grilles de ventilation latérales, rétroviseurs ovales, pare-chocs avant, plaque minéralogique arrière déplacée entre les feux…). L’intérieur du « M » se distingue par nombre de détails avec principalement des sièges spécifiques et les trois cadrans supplémentaires implantés sur la console centrale. En matière de motorisation, le modèle « M » du Roadster et du Coupé Z3 utilise un six cylindres à 24 soupapes issu d’un développement destiné aux M3 de type E36 puis E46 à partir de 2001. Par rapport aux autres roadsters Z3, le modèle « M » a aussi un châssis spécialement adapté et quelques options spécifiques : suspensions MacPherson, voies avant et arrière plus larges, abaissement de la caisse, géométrie avant de suspension modifiée, ressorts et amortisseurs plus fermes, barres anti-roulis plus épaisses, bras de remorquage renforcés, châssis renforcé.
Souvent copié, jamais égalé :
Le roadster Z3 restera un véhicule d’exception parce qu’il a su être leader de son segment de marché avec près de 300.000 exemplaires construits, moult fois copié par des marques concurrentes, mais jamais égalé, matérialisant un nouveau style de la marque. Même après l’arrêt de la production, ce véhicule continue donc d’obtenir un succès considérable, aux côtés de son successeur le Z4. Avec un tel succès, le Z3 quant à lui, devient un véhicule de collection très apprécié.
Men in Black est une comédie de science-fiction américaine de 1997 réalisée par Barry Sonnenfeld et produite par Walter F. Parkes et Laurie MacDonald. Adapté librement de la série « The Men in Black Comic Book » créée par Lowell Cunningham et Sandy Carruthers, le film met en scène Tommy Lee Jones et Will Smith en agents d’une organisation secrète appelée Men in Black, qui supervisent la présence sur Terre des formes de vie extraterrestres et cachent leur existence aux humains ordinaires jugés trop débiles pour en être informés. D’ailleurs à ce propos, les dialogues sont savoureux :
Tommy Lee Jones (Agent K) : « OK petit, voilà le tableau : à tout moment il y a près de 1500 extraterrestres sur notre planète, presque tous ici à Manhattan. Ils sont presque tous convenables, ils ne cherchent qu’à se faire un peu de blé. Will Smith (Agent J) : « Des chauffeurs de taxi? » Tommy Lee Jones : « Non, il n’y en a pas tant que ça. Les humains pour la plupart ne se doutent de rien, sans envie ni besoin de savoir, ça leur va comme ça ; ils croient avoir de l’emprise sur les choses ». Will Smith : « Pourquoi en avoir fait un secret. Ils peuvent comprendre, ils sont intelligents ». Tommy Lee Jones : « Une personne sûrement. Mais en foule on est con, on panique comme une horde d’animaux. Et, tu le sais. N’oublie pas qu’il y a 1500 ans, tout le monde était sûr que la Terre était le centre de l’univers. N’oublie pas qu’il y a 500 ans tout le monde était sûr que la Terre était plate. Il y a 20 minutes, tu étais sûr qu’on était seul sur cette planète. Imagine de quoi tu seras sûr demain ».
Le film diffusé à partir du 2 juillet 1997 par Columbia Pictures a recueilli plus de 589,3 millions de dollars dans le monde pour un investissement initial de 90 millions de dollars, devenant ainsi le troisième film de l’année, avec environ 54.616.700 billets vendus aux États-Unis. Il a été récompensé dans le monde entier, les critiques ont apprécié son humour spirituel et sophistiqué, les performances de Jones et Smith et la performance musicale de Danny Elfman. Le film a reçu trois nominations aux Oscars pour la meilleure direction artistique, le meilleur scénario original et les meilleurs maquillages, remportant le dernier prix. Le film a engendré deux suites, Men in Black II (2002) et Men in Black 3 (2012), ainsi qu’une série animée. Un nouvel opus est en cours de développement.
En arrivant sur le projet, Le réalisateur Barry Sonnenfeld modifie quelques éléments du script. Alors que la plupart des scènes avaient lieu sous-terre dans le Kansas, à Washington, D.C. ou dans le Nevada, il décide que le film doit se dérouler dans les rues de New York :
« J’ai le sentiment que si des extraterrestres débarquent un jour sur notre planète, c’est là-bas qu’ils se sentiront le mieux : ils pourront se fondre dans la population de la ville, au milieu de gens qui ressemblent eux-mêmes à des extraterrestres – qui en sont même probablement… Ce qui est formidable avec New York, c’est que lorsqu’on s’y promène, on découvre des bâtiments, des choses dont on ne comprend pas pourquoi elles sont là. On peut facilement en rire, exactement comme on peut prendre certains de ses habitants pour des extraterrestres. »
L’histoire :
Après qu’une agence gouvernementale ait réalisé un premier contact avec des aliens en 1961, des réfugiés extraterrestres vivent en secret sur Terre, principalement déguisés en humains, dans la région de New York. Men in Black est une agence secrète, totalement autonome du gouvernement des États-Unis, qui surveille ces extraterrestres, protège la Terre contre les menaces intergalactiques et utilise des neurolasers à effacement de mémoire pour tenir le public à l’écart de cette connaissance. Ces Men in black voient toutes traces de leurs anciennes identités disparaître et les agents prenant la retraite sont neurolisés avant de prendre de nouvelles identités. Après une opération visant à arrêter un criminel étranger près de la frontière mexicaine par les agents K et D, D décide qu’il est trop âgé pour continuer son métier, K lui efface la mémoire et commence à chercher un nouveau partenaire.
James Darrell Edwards, agent de la police de New York, poursuit un suspect surnaturellement rapide et agile dans le musée Guggenheim, où il découvre que ses yeux sont équipés de fentes en guise de pupilles. En guise d’explication, K neurolise James et lui laisse une carte de visite avec une adresse. Edwards se rend à l’adresse indiquée et subit une série de tests, pour lesquels il trouve des solutions inhabituelles. Alors que les autres candidats sont flashés et éconduits, K offre à Edwards un job de men in black. Edwards accepte à contrecœur et son identité est effacée, devenant l’agent J, la plus récente recrue chez les men in black.
Cependant, il est encore loin de se douter des épreuves qui l’attendent : une «bestiole» (sorte d’extraterrestre belliqueux ressemblant à un cafard géant), cherche à s’emparer de la galaxie appartenant à un prince arquilien… J apprendra rapidement à quel point il est difficile d’assurer l’avenir de la planète alors que l’alien qu’il recherche prend un corps humain comme déguisement, et que la population doit demeurer dans l’ignorance totale de sa fin imminente…
Voir sur YouTube : « Men In Black – Bande-annonce [VF] » par Les extraterrestres au cinéma et « Will Smith – Men In Black » par WillSmithVEVO