Youngtimer – Fiat Barchetta (1995-2005)

La Fiat Barchetta est un roadster qui rappelle les véhicules de course italiens des années 1950. Elle fut introduite en 1995, et resta commercialisée durant une décennie. À l’origine, le nom du projet était Tipo B Spider 176 et avait été développé de 1990 à 1994. Les stylistes derrière la Barchetta étaient Andreas Zapatinas, Alessandro Cavazza entourés d’autres concepteurs du Fiat Centro Stile sous la supervision de Peter Barrett Davis. Le prototypage fut réalisé par Stola. Dix ans après la Fiat 124 Sport Spider, le concept car de la Barchetta qualifié de « minimaliste mais sophistiqué » fut présenté pour le 95e anniversaire de Bertone. Sa production commença en février 1995 et se termina en juin 2005.

Le même châssis que la Punto, le même moteur que le Coupé :

La voiture repose sur la plateforme de la Fiat Punto de 1993 dont l’empattement a été raccourci puis équipée du moteur de 1747 cm3 16V développant 130 ch à 6300 tr/min dérivé de la Lancia Kappa, le même qui a aussi équipé la Fiat Coupé. Ce moteur, doté d’un variateur de phase sur l’arbre à cames, permettait d’atteindre une vitesse de 201 km/h avec une accélération de 0 à 100 km/h en moins de 9 secondes. Maggiora proposa également un prototype « Sport » avec une garde au sol réduite, un différentiel autobloquant des jantes de 16″ et un moteur porté à 160 ch.

Trois usines pour sa production : 

La production de la Barchetta était décomposée en trois phases opérationnelles. Le châssis et la carrosserie étaient réalisés et assemblés à Sparone, près de Turin. Les caisses nues étaient transportées dans les ateliers de Bertone à Grugliasco au sud de Turin pour y être peintes puis livrées à la Carrozzeria Maggiora à Chivasso où les moteurs provenant de l’usine Fiat de Pratola Serra étaient montés et les voitures équipées de la sellerie intérieure. À la suite de l’arrêt d’activité de la société Maggiora, en fin d’année 2002, plus aucune voiture ne sera fabriquée jusqu’en juin 2003, date à laquelle les unités d’assemblage furent réinstallés dans un atelier de l’usine géante de Fiat-Mirafiori.

La fabrication prit fin en juin 2005, malgré une demande encore importante, notamment du marché britannique, alors que la voiture n’a jamais équipée pour la conduite à gauche. De 1995 à 2005, 57.791 exemplaires de ce modèle ont été commercialisés sur le marché de l’automobile.

Caractéristiques Techniques : Voir brochure ci-dessous

Prix du modèle neuf en 1995 : 132.500 F soit 27.471 € avec 36% d’inflation.

Cote actuelle : à partir de 3000 €

 

Youngtimer – Fiat Coupé (1993-2000)

Au début des années 90, Chris Bangle, styliste chez Fiat, est chargé de l’étude de la carrosserie du nouveau Coupé de la marque italienne. La ligne de la voiture est inspirée de la Fiat 128 Sport Coupé, et l’intérieur est conçu par Pininfarina. Le résultat sera unanimement jugé favorablement par toute la presse internationale lors de sa présentation et cette ligne si particulière et innovante fera la force du Coupé Fiat. De très nombreux détails de carrosserie ont été travaillés avec beaucoup de soin comme les arches de roues dotées d’une saignée, la trappe à essence à l’ancienne – inspirée des Ferrari GTO – et les doubles feux ronds de petite taille qui rappellent également Ferrari. Le Coupé Fiat ne laisse pas indifférent et évoque la sportivité. Pininfarina va habiller l’habitacle également d’une façon originale avec une planche de bord dont le bandeau central (qui parcourt toute la planche en largeur, entourant notamment les compteurs) est en acier peint de la couleur de la carrosserie. L’habitacle est bien construit et les sièges sont très confortables.

Plate-forme et motorisation : 

La plate-forme de la Fiat Tipo sert de base au nouveau modèle, ce qui est une bonne idée vu que la Tipo possède un bon comportement routier, et que sa plate-forme permet au Coupé de disposer d’un empattement long, gage d’une bonne habitabilité. Côté mécanique, Fiat utilise le 2.0 16V qui équipe déjà les Tipo sportives. C’est le moteur Fiat/Lancia Lampredi dérivé du modèle qui équipe en rallye les Lancia Delta Integrale. La version la plus puissante reçoit un turbo qui porte la puissance à 195 ch DIN.

Les deux millésimes : 

1994-96 : La Coupé dispose de deux motorisations :
le 2.0 16V atmosphérique développant 142 ch
le 2.0 16V Turbo de 195 ch. Le Coupé Fiat est doté de série d’un équipement très complet et est proposé à un tarif plutôt attractif.

1997-2000 : Les deux moteurs d’origine disparaissent et sont remplacés par trois moteurs différents :
le 1.8 16V, identique à celui de la Fiat Barchetta qui sera la motorisation d’entrée de gamme avec 130 ch.
le 2.0 20V, moteur à 5 cylindres des Fiat Bravo/Brava qui développe 147 ch, porté à 154 ch en 1998.
le 2.0 20V, 5 cylindres turbo de 220 ch. Cette dernière motorisation fera du Coupé Fiat la voiture la plus rapide de l’histoire de la marque avec une accélération de 0 à 100 km/h en 6,5 s pour une vitesse de pointe sur circuit de 250 km/h. En 1999 est commercialisée une Édition limitée 20V Turbo (voir la photo de présentation) dotée de freins ventilés plus puissants avec des étriers rouges, d’une boîte six vitesses et d’un kit carrosserie (spoilers avant et latéraux et jantes à bâtons plus fins laissant apparaître les étriers de marque Brembo). Elle comprend également un bouton pour démarrer le moteur et des sièges Recaro offrant un meilleur maintien que ceux de la version 16V Turbo.

La production de la Fiat Coupé cesse en milieu d’année 2000.

Caractéristiques techniques : voir notice ci-dessous.

Prix du modèle neuf en 1997 : 132.300 F pour la 1.8 litres 16 v ; 148.500 F pour la 2 l 20 v et 194.400 F pour la 2 l 20 v Turbo (soit 38.854 € avec 31,1% d’inflation).

Cote actuelle : à partir de 1500 € pour un Coupé 16 valves et de 3000 € pour une Turbo.

Youngtimer – Alfa Romeo 155 (1992-97)

Lancée en 1992 pour remplacer la 75 vieillissante, la 155 laissa de côté les habitudes de la firme Alfa Romeo en adoptant une configuration avec traction avant et des suspensions avec 4 roues indépendantes. Les purs alfistes qui avaient déjà critiqué vingt ans plus tôt l’arrivée de la traction avant inaugurée sur les Alfasud, n’apprécièrent pas non plus le fait que la voiture dérive de chez Fiat. La châssis était celui de la Fiat Tipo (partagé également avec la Fiat Tempra et la Lancia Dedra) et, malgré une alimentation à injection électronique, le variateur de phase et le dispositif Twin Spark, les moteurs dérivaient de ceux montés sur les autres modèles du groupe Fiat. La ligne était en revanche digne d’Alfa Romeo : désinée par I.DE.A (Institute of Development in Automotive Engineering) sous la direction d’Ercole Spada venu de chez Zagato, elle était agressive, disposant d’une calandre basse, d’optiques avant étroits et d’une poupe haute et massive.

La première série (1992-1995) : Présentée au Salon de Genève de 1992, la 155 est au départ uniquement disponible en motorisations essence. Elles sont équipées du 4 cylindres Twin Spark équipée de 2 bougies par cylindre, de l’injection électronique et d’un variateur de phase. Dans cette configuration, le moteur est au choix un 1 773 cm3 de 126 ch ou un 1 995 cm3 de 143 ch. Le modèle haut de gamme est équipé du moteur V6 2.5 de la GTV6 développant 166 ch, mais cette fois-ci en position transversale.

La version sportive Q4 est dotée d’ailes plus larges, de jantes en alliage, de pare-chocs plus importants, d’un équipement sportif et d’une mécanique dérivée de la Delta Integrale mais légèrement moins puissant : moteur 2 litres 16 soupapes de 192 ch turbocompressé et 4 roues motrices permanentes.

En 1993, la gamme est complétée par les versions essence 1.7 Twin Spark (115 ch), et Turbo diesel : Le TD 1.9 litre de 92 ch de chez Fiat également utilisé par Lancia, et le TD 2.5 de 125 ch. C’est à l’époque l’un des diesel les plus puissants et les plus performants du monde.

La seconde série (1995-1997) : En 1995, la 155 est restylée avec notamment des voies arrières élargies, un nouveau galbe d’ailes arrières, de nouvelles teintes de carrosserie, des pare-chocs désormais peints sur toutes les versions et de nouvelles jantes. De nouveaux moteurs arrivent également notamment le Twin Spark dont les cylindrées passent respectivement à 1 581 cm3 pour 120 ch, 1747 cm3 pour 140 ch et 1 970 cm3 pour 150 ch. La Q4 disparait du catalogue et les moteurs diesel restent inchangés.

La 155 fut remplacée en 1997 par l’Alfa Romeo 156.

Caractéristiques Techniques : 

Moteurs Essence : 1.6 TS 16v 120 ch ; 1.7 TS 115 ch ; 1.8 TS 129 ch ; 1.8 TS 16v 140 ch ; 2.0 TS 143 ch ; 2.0 TS 16v 150 ch ; Q4 190 ch ; 2.5 V6 166 ch. Gazole: 1.9 TD 92 ch ; 2.5 TD 125 ch.
Transmission : Traction Avant et Traction Intégrale permanente sur Q4.
Poids et performances : Poids : entre 1204 et 1400 kg. Vitesse : 225 km/h (Q4)
Châssis – Carrosserie : Berline 4 portes.
Coefficient de traînée : 0,29
Direction : À crémaillère, (assistance en option sur les premiers modèles)
Dimensions : Longueur : 4443 mm ; Largeur : 1770 – 1773 mm ; Hauteur : 1440 mm.

Prix du modèle neuf en 1992 :  186.000 F pour une Q4 soit 41.000 € avec 44,5% d’inflation.

Cote actuelle : à partir de 1500 € pour un 2 litres, de 3000 € pour un V6 et de 6000 € pour un Q4.

Youngtimer – Opel Monza (1978-86)

Un peu d’histoire :

Avant que la firme Opel n’aborde la production automobile à la fin du 19ème siècle, elle s’était déjà fait une réputation en fabriquant des machines à coudre, des bicyclettes et des motocyclettes. Les frères Opel acquirent les droits de production de la voiture Lutzmann, et en 1898, ils construisirent l’Opel « Sytème Lutzmann ». En 1928, Opel est le premier producteur d’automobile en Allemagne mais en 1929, suite à la crise, la General Motors devint actionnaire majoritaire et réorganisa l’ensemble du groupe. Sous cette impulsion, Opel devint le plus grand constructeur européen en 1939. Les usines furent détruites pendant la seconde guerre mondiale en 1944 et, dès que celle-ci fut terminée, les anciens employés d’Opel reconstruisirent la chaîne de Russelheim où la production redémarra en douceur. Vinrent les modèles Kadett (1962-79), la Kapitan (1964-68), l’Admiral et la Diplomat (1964-77), puis la fameuse GT (1968-73), l’Ascona et la Manta (1970-88).

Le coupé Monza : 

Succédant à sa façon au prestigieux modèle Diplomat V8, une berline de luxe – également disponible en coupé – qui fut retirée des chaînes de production de Russelheim en 1977, l’Opel Monza fut dévoilée en même temps que la berline Senator au Salon de Francfort de 1977. Étroitement dérivée de cette dernière, ce coupé spacieux offrait une carrosserie plus élancée, caractérisée par une poupe Fastback sans décrochement. Comme la Senator, la Monza sera proposée, au choix, avec un six cylindres de 2,8 litres de 140 chevaux à caburateur double corps ou un six cylindres de 3 litres à injection Bosch L-Jetronic développant 180 chevaux DIN.

Élégant, mais en manque d’image : 

Doté d’une présentation attrayante, d’une habitabilité généreuse et d’un comportement routier plutôt sain, le coupé Monza souffrira néanmoins d’un singulière absence d’image tout au long de sa carrière, un handicap préjudiciable dans sa catégorie, monopolisée par les grandes routières de prestige renommées.

Fin 1982, la gamme est remaniée (avec le modèle A2) et intègre en plus du six cylindres en lignes 2,5 litres (qui passe à l’injection) et du 3 litres, un moteur plus économique de 4 cylindre en ligne, le 2 litres à injection de 110 ch DIN. À cette occasion, la face avant est restylée avec une nouvelle calandre, des optiques plus grandes équipées de clignotants blancs, tandis qu’un nouveau bouclier peint dans la couleur de la carrosserie remplace l’ancien pare-chocs chromé. En 1983, le modèle GSE s’équipe d’un petit déflecteur arrière, de sièges Recaro, d’un tableau de bord digital et d’un pont autobloquant. Enfin, pour le millésime 1985, le quatre cylindres devient un 2,2 litres de 115 ch.

Un succès en demi-teinte : 

En 1987, la série Senator/Monza sera supprimée du programme de production après avoir été diffusé à 130.000 exemplaires seulement. A l’instar de quelques autres constructeurs généralistes, Opel a une fois de plus réalisé avec ce modèle, que le marché haut de gamme ne lui était guère favorable.

Caractéristiques Techniques : 

Moteur(s) : 4 et 6 cylindres en ligne ; Cylindrée : 2.0, 2.2, 2.5E, 2.8, 3.0, 3.0E ; Puissance maximale : 115 à 180 ch DIN ; Couple maximal : 248 Nm.
Transmission : Aux roues AR ; Boîte de vitesses ; Manuelle à 5 vitesses ou automatique à trois rapports.
Poids et performances : Poids à vide : 1350 kg. Vitesse maximale : 215 km/h ; Accélération : 0 à 100 km/h en 8,5 s.
Châssis – Carrosserie : Carrosserie : Coupé 2 portes ; Châssis : Opel Senator.
Freins : Disques ventilés/Disques.
Dimensions : Longueur : 4719 mm ; Largeur : 1720 mm ; Hauteur : 1379 mm ; Empattement : 2670 mm ; Voies AV/AR : 1,44 mm/1,47 mm.

Prix du modèle neuf en 1986 : de 110.000 F à 178.000 F (47.124 €  avec 74% d’inflation) pour le 3 litres à injection.

Cote actuelle : à partir de 3000 €

Youngtimer – Cadillac Seville (1976-2004)

La première crise énergétique de 1973-74 entraîna une chute importante des ventes sur le marché américain des modèles grand format (Standard Size) au profit des marques européennes régulièrement importées. Les grandes Cadillac subirent de plein fouet les contre coups de cette récession. La berline Seville, conçue en un temps record, révéla les étonnantes facultés d’adaptation de l’industrie américaine.

Compacte mais prestigieuse : 

Projetée à partir de la structure des Chevrolet Nova, la Seville offrait des dimensions tout à fait inhabituelles pour une Cadillac (5,18 mètres seulement…) mais il ne s’agissait pourtant pas d’une série économique. Dotée d’un équipement très complet (climatisation automatique, réglage des siège électrique, auto-radio hi-tech…), d’une finition particulièrement soignée et caractérisée par son style sobre et élégant, la Seville symbolisait une produit destiné à contrer le succès des berlines de luxe importées d’europe (Jaguar, Mercedes et BMW).

Un succès historique et une grande longévité : 

1ère génération (1976-79) : Commercialisée à un prix supérieur à celui des Cadillac Sedan conventionnelles, la Seville représentait un pari commercial audacieux, surtout sur un marché où l’on considérait jusqu’alors que le prestige d’une voiture se mesurait aussi en centimètres. C’était une propulsion équipée d’un V8 de 5737 cm3 à soupapes en tête d’une puissance de 180 ch DIN, et d’une boîte de vitesse automatique hydramatic. Très bien accueillie par la clientèle américaine, la Cadillac Seville allait connaître un succès significatif, sa diffusion atteignant 40.000 exemplaires dès la première année. Le modèle de la première génération sera produit sans grand changement jusqu’en 1980. Mais la Seville sera restylée encore quatre fois avant de terminer sa carrière, en 2004.

2ème génération (1980-85) : Si le premier modèle avait un pont rigide sur ressort à lames, la seconde génération adopte la traction avant, et une suspension arrière indépendante avec correction automatique de niveau. Côté carrosserie, les modifications, qui sont assez surprenantes, ne touchent que la partie arrière de la voiture dont le coffre adopte une forme anguleuse qui rappelle certaines voitures anglaises des années 50. Le moteur, un 6045 cm3 développant 140 ch, est équipé d’un système électronique Cadillac qui permet de rouler sur 4, 6 ou 8 cylindres en fonction de la charge. Une version 4,1 litres en V6 et V8 est aussi disponible, ainsi qu’un diesel de 5,7 litres.

3ème génération (1986-91) : A l’image de l’Eldorado, elle présente en 1986 un design entièrement nouveau. Les formes rectangulaires de la première moitié de la décennie cèdent la place à un dessin plus harmonieux, que l’on retrouve sur d’autres modèles de chez GM. L’évolution concerne la partie antérieure affinée et la ceinture de caisse abaissée, qui modernisent la ligne et lui confèrent une indiscutable élégance. Elle dégage aussi le pavillon qui bénéficie de plus larges surfaces vitrées. Par contre, la brutale rupture à angle droit qui intervient au niveau de la custode arrière est d’une esthétique aussi surprenante que discutable. La Seville partage avec l’Eldorado le même empattement de 108 pouces (2,74 m), de 15 cm plus court que la série précédente, et sa longueur perd 47 cm (4,78 m). La mécanique est par contre sans changement. Le moteur est placé transversalement, et comme toutes les Cadillac – à l’exception de la grosse Brougham – la Seville est une traction avant. Elle est équipée de freins à disques sur les quatre roues. La version « Elegante » offre des chromes supplémentaires et un équipement plus luxueux. Les moteurs vont de 130 ch à 204 ch avec la version STS en 1991.

4ème génération (1992-97) : En 1992, Cadillac sort une nouvelle Séville à saveur européenne qui reçoit un bon accueil. La Seville Touring Sedan fut élue voiture de l’année par le magazine Motor Trend pour l’année 1992. Elle fut classée en 10ième place des meilleures voitures par la revue Car & Driver cette même année. Son esthétique est particulièrement réussie. Les moteurs vont de 200 à 300 ch DIN.

5ème génération (1997-2004) : La voiture ressemble au modèle de quatrième génération, mais elle présente de nombreuses améliorations au niveau de la suspension et de la tenue de route. La Séville STS et l’Eldorado ETC devinrent les tractions avant les plus puissantes sur le marché avec 300 ch. En janvier 2002, la Seville STS reçoit un nouveau système de suspension adaptatif MagneRide. La production de la Séville STS prend fin en mai 2003 et celle de la Séville SLS s’arrête sept mois plus tard, à la fin de l’année 2003. Elle sera remplacée par la Cadillac STS en 2005.

Caractéristiques techniques du modèle 1986 : Voir notice du constructeur ci-dessous.

Prix du modèle neuf en 1986 : 26.800 $ soit 53.000 € avec 74% d’inflation.

Cote actuelle : à partir de 3000 € pour toutes les séries.

error: Content is protected !!