Youngtimer – Chrysler Viper RT/10 (1992-2002)

Lorsqu’ils pensèrent à la Viper, Bob Lutz alors directeur général de Chrysler et François Castaing, vice-directeur du développement, tombèrent d’accord sur le fait que cette voiture devait être conçue et construite “à part”. Au stade de la conception, se posa bien sûr le problème de la motorisation. Le premier prototype qui tourna fin 1989 était équipé d’un V8 4 litres ne dépassant pas 300 chevaux. Lee Iacocca (qui participa entre autre au développement de célèbres modèles de Ford automobiles, notamment la Ford Mustang,  la Lincoln Continental Mark III, la Ford Escort…) avait été clair : “Je veux quelque chose d’énorme, un moteur robuste, rempli de couple à partir de 1500 tours, capable de digérer les catalyseurs, ne tournant pas trop vite, procurant des émotions et non des sensations…”

Un moteur exceptionnel : 

C’est au sein de la gamme que l’on dénicha l’oiseau rare sous forme d’un V8 atmosphérique 5,9 litres “Magnum” équipant des camionnettes de la division Dodge Truck et en particulier le pick-up Ram Charger. On lui ajouta une paire de cylindres et l’on se retrouva avec un V10 de huit litres, arbre à cames latéral, deux soupapes par cylindre, tiges et culbuteurs, exactement ce qu’il fallait. De 384 kg en version fonte, les motoristes de Chrysler descendirent à 325 kg par emploi d’alliage d’aluminium pour le bloc et les culasses. À partir de là, les études furent menées en collaboration avec le département moteur de Lamborghini. Sur cet engin finalement assez rustique, on installa une gestion électronique intégrale multipoints semblable dans son esprit à celle de la Diablo. Le résultat fut conforme au cahier des charges : 400 ch à 4600 tr/mn, 62,3 mkg à 3600 tr/mn avec une courbe très plate sortant déjà 55 mkg dès 2500 tr/mn.

Commercialisée dès 1992 : 

La première Viper est commercialisée en 1992 sous la marque Dodge et devient rapidement une voiture de sport de référence sur le marché américain. Le modèle est notamment facile à reconnaître grâce son look unique et agressif et à son moteur hors-normes. C’est tout de suite un succès commercial et une voiture symbole pour la marque Dodge qui se fait ainsi connaître dans le monde entier. Après des années et plusieurs modèles différents (Dodge Viper RT/10, GTS, GTS-R, ACR, SRT-10, SRT-10 Coupé), la Dodge Viper reste une référence sur le marché des voitures « musclées » (« muscle cars ») en Amérique du Nord.

Caractéristiques Techniques : Voir brochure ci-dessous.

Prix du modèle neuf : 470.250 F en 1992 soit 104.532 € avec 45,8 % d’inflation.

Prix actuel d’occasion : à partir de 39.000 €

Youngtimer – BMW M3 [E36] (1992-1999)

En 1993, un célèbre magazine auto la présentait ainsi : “Qu’est-ce qui est plus performant que les meilleures sportives, largement plus confortable et suffisamment discret pour ne pas déclencher d’émeutes dans les rues? Réponse : le coupé BMW M3. Qui s’offre en prime le luxe d’être raisonnablement cher? Et si s’était tout simplement la voiture du siècle?”

La BMW M3 série 1 :

La BMW M3 est la version sportive de la BMW Série 3, revue par la branche Motorsport de la marque bavaroise. Construite sur la base du châssis E30, elle a vu le jour en 1986. À l’origine conçue dans le but de gagner des courses, les générations suivantes furent avant tout développées à destination d’une clientèle amatrice de voitures sportive. La première M3 était équipée d’un moteur 4 cylindres à 16 soupapes proposé en deux cylindrées, d’abord un 2,3 L de 200 ch puis un 2,5 L de 238 ch. Mais la E36 qui fut commercialisée à partir de 1992 n’avait plus grand chose à voir avec cette première mouture.

Un nouveau moteur 6 cylindres pour la M3 série 2 :

D’un point de vue esthétique, la ligne de la M3 série 2 [E36] est entièrement revue, mais c’est au niveau du moteur que la division « M » de BMW a effectué les plus gros changements : le quatre cylindres de l’E30 est remplacé par un six-cylindres en ligne de 3 litres et gagne ainsi, dans un premier temps, plus de cinquante chevaux pour atteindre, sur la première version de la E36, 286 ch. D’autre modifications apparaissent en 1996 avec un six cylindres de 3,2 L d’une puissance de 321 ch, accouplé à une boîte à six rapports.

Encensée par la presse automobile :

Comme évoqué en introduction, la BMW M3 [E36] fut l’objet d’un article dithyrambique sur la revue Auto Plus n° 241 du 20 avril 1993 (voir le scan en bas de page). Elle fut aussi désignée comme étant la voiture la plus maniable de l’époque par le magazine américain Car and Driver.

Caractéristiques Techniques : Voir brochure ci-dessous.

Prix du modèle neuf en 1993 : 320.000 F soit 68.903 € avec 41,2 % d’inflation.

Prix d’occasion : à partir de 10.000 €.

Album – Lush – Split (1994)

Lush est un groupe de rock alternatif anglais formé à Londres en 1987. À ses débuts, le groupe était composé de Miki Berenyi (voix, guitare), Emma Anderson (voix, guitare), Phil King (basse) et Chris Acland (batterie). Ils ont été l’un des premiers groupes à appartenir au mouvement “shoegazing” (dénommé ainsi parce que les musiciens de ces groupes jouaient sur scène d’une manière très introspective qui laissait penser qu’ils contemplaient (gazing at) leurs chaussures (shoe). Leur musique shoegazing était caractérisée par l’usage significatif d’effets de guitare, et de mélodies vocales indiscernables se mêlant à un son créatif. Après la mort du batteur Chris Acland, Lush s’est dissout en 1996.

Le groupe s’est formé en 1987 à Londres, initialement nommé Baby Machines (d’après un couplet de la chanson de Siouxsie et Banshees “Arabian Knights”), avec  Meriel Barham (voix), Anderson (guitare, voix), Berenyi (guitare , Voix), Steve Rippon (basse) et Chris Acland (batterie). Anderson et Berenyi avaient été amis de l’école, se connaissant depuis le début des années 1980, et ont publié ensemble le fanzine Alphabet Soup. En 1986, Anderson rejoint les Rover Girls en tant que bassiste, et Berenyi a rejoint les Bugs, également en tant que bassiste. Aucun des deux groupes n’a duré longtemps et, en 1987, ils ont rejoint Barham et Acland des Baby Machines. Rippon s’est joint peu de temps après, et les membres du groupe ont décidé de s’appeler Lush, faisant leurs débuts en live au Camden Falcon le 6 mars 1988. Barham a quitté le groupe et a ensuite rejoint Pale Saints. Berenyi a ensuite assumé des fonctions de chanteuse principale.

Anderson dit des débuts du groupe : “Au départ on était branchés Punk Rock. On se disait, si les autres groupe en font, p….n nous aussi on peut! Fondamentalement, notre idée était d’avoir des guitares extrêmement bruyantes avec des voix beaucoup plus faibles. Et, vraiment, les voix étaient plus faibles…” Berenyi déclare aussi : “On a commencé par faire du Punk rock hardcore, mais c’était une attitude juvénile. Il y a eu un changement très rapide à partir de la minute où nous avons commencé à enregistrer des disques. La musique et les paroles sont devenues beaucoup plus réfléchies et expressives, c’était plus important, vraiment. Je me souviens de ce changement au début lorsque Emma a écrit “Thoughtforms”, cela m’a certainement fait penser que je devais m’inclure dans la pensée du groupe”.

En 1989, le groupe signe chez 4AD et enregistre Scar, un mini-album de six pistes. Les éloges critiques pour Scar et une émission live populaire ont établi Lush comme l’un des groupes écrivant les meilleures parole de la scène indie britannique de la fin des années 1980 et du début des années 1990. Peu de temps après, la presse musicale britannique les a labellisés “shoegazing”. L’année suivante, les EP Mad Love (produit par Robin Guthrie des Cocteau Twins) et Sweetness and Light (produit par Tim Friese-Greene) sont parus. Les trois titres ont finalement été combinés dans l’album de compilation Gala, qui a été produit principalement pour les marchés américain et japonais. Précédé par le mini album Black Spring publié en octobre 1991, le premier album de Lush, Spooky, a été publié en janvier 1992.

Spooky (1992) : Encore produit par Robin Guthrie, Spooky présente un son très semblable au groupe Cocteau Twins, avec un mur de son puissant (formule de production musicale très Wagnérienne développée par le producteur américain Phil Spector chez Gold Star Studios dans les années 1960) et une grande quantité d’effets de guitare. Spooky a atteint le Top 10 du Royaume-Uni et s’est classé dans les charts indie nationaux. L’album a produit trois singles: “Nothing Natural”, “Superblast!” et “For Love”. En 2016, Pitchfork a classé l’album à la 27ème place dans sa liste des “50 meilleurs albums Shoegaze de tous les temps”. Les thèmes musicaux sont lyriques, évoquant des rêves brumeux et lointains hantées d’amis perdus depuis longtemps, guidés par les voies envoûtantes des chanteuses guitaristes Emma Anderson Et Miki Berenyi.

Split (1994) : Deux singles sont tirés de l’album: “Desire Lines” et “Hypocrite”, tous deux sortis le 30 mai 1994. Lush savait qu’il était capables de mieux faire après le disque décent mais imparfait qu’il avait sorti deux ans plus tôt, mais il est peu probable que ses membres aient pu prédire à quel point ce disque serait superbe. La voix haut perchée de Miki Berenyi a une portée, un pouvoir de suggestion et une présence accrues. La batterie de Chris Acland propulse et souligne le son du groupe bien plus qu’avant, encore appuyé par le nouveau bassiste Phil King. Le producteur Mike Hedges a su exactement ce qu’il fallait faire avec le groupe, en ajoutant la grâce et l’équilibre qu’aucun autre n’aurait pu trouver auparavant. Berenyi transmet efficacement la nature profonde chargée des turbulences émotionnelles des paroles. “Blackout” et “Hypocrite” prouvent la capacité du groupe à être plus agressif, jetant les bases sonores du prochain album Lovelife. Le titre “Lovelife” est quant à lui la symbiose idéale entre la voix, la musique et les paroles du duo Miki Berenyi/Emma Anderson à son apogée créative.

Lovelife (1996) : Lovelife est le dernier album studio du groupe de rock alternatif anglais Lush. Sur cet album, le groupe s’est éloigné de son style “shoegazing” antérieur et a adopté un son plus rock alternatif. L’album a été produit par Pete Bartlett et le groupe chez Protocol Studios à Londres, et conçu par Giles Hall. Lors de sa sortie, il a atteint la huitième place des charts britanniques.

Ciao! The Best of Lush (2001) : est une compilation du groupe Lush. Ce CD est sorti presque cinq ans après la dissolution du groupe et le suicide du batteur Chris Acland. Cette compilation est dédié à sa mémoire.

Discographie : 

1992 : Spooky
1994 : Split
1996 : Lovelife
2001 : Ciao! The Best of Lush

Voir sur YouTube : “Lush – Lovelife (Live)” par rrn3000 ; “Lush – Desire Lines (Official Video)” ; “Lush – Single Girl” ; “Lush – Ladykillers (Official Video)” ; “Lush – Sweetness and Light (Official Video)” ; et “Lush – 500 (Shake Baby Shake) (Official Video)” par 4AD

 

Youngtimer – Ferrari F355 (1994-1999)

Envoûtante, douce et rageuse, la Ferrari F355, qui assura la succession de la 348, possédait au plus haut niveau tous les attraits de la séduction. Capable d’assurer un usage quotidien grâce à sa souplesse en ville, elle révélait un tout autre visage lorsque se déchaînait son extraordinaire moteur V8 de 380 ch. C’est resté une voiture attachante, qui se conduit avec une certaine facilité, nettement plus docile que la 348 dont le comportement routier était réputé survireur jusqu’au millésime 1992.

5 soupapes par cylindre :

La F355 est un coupé à moteur V8 à 90° en position longitudinale centrale arrière dérivée de la Ferrari 348, dont elle partage la base. Son V8 de 3,5 litres et 380 ch est aussi le premier moteur de la marque à disposer de 5 soupapes par cylindre, (trois soupapes étant réservées à l’admission et deux à l’échappement, toutes avec des poussoirs hydrauliques) ce qui explique par ailleurs sa dénomination : 355 pour 3,5 litres de cylindrée, et 5 pour le nombre de soupapes par cylindre. C’est également la première Ferrari à proposer en option une boîte séquentielle F1 à commande au volant, technologie héritée de la Formule 1 avec quatre réglages : le mode Auto, Low grip, Normal et Sport. Enfin, l’amortissement est piloté et dispose de deux modes : normal ou sport.

Modèles et présentation :

Lors de son lancement, deux modèles étaient disponibles : le coupé Berlinetta et le coupé de type targa GTS. La version cabriolet baptisée Spider a été présentée en 1995. Une version “Challenge” destinée à la compétition fut construite à seulement 109 exemplaires, dont quelques-uns furent immatriculés. La fin des modèles F355 fut marqué par la construction d’une série limitée de 100 modèles « Serie Fiorano », essentiellement des Spider identifiables par la plaque numérotée fixée sur le tableau de bord. La F355 a été dessinée par Pininfarina. Parmi les changements cosmétiques de ce modèle, on notera la suppression des feux occupant l’entière largeur du panneau arrière façon Testarossa, remplacés par les quatre phares ronds chers à la marque et la suppression des grilles latérales. La belle est aussi équipée de nouvelles jantes 18 pouces à cinq branches en magnésium.

Caractéristiques Techniques : 

Moteur : V8 à 90°, 3,5 litres, 40 Soupapes ; Position du moteur : Longitudinale centrale arrière ; Cylindrée : 3 496 cm3 : Puissance maximale : 380 ch à 8250 tr/min ; Couple maximal : 360 Nm à 6000 tr/min.
Transmission : Propulsion ; Boîte de vitesses : Manuelle 6 rapports.
Poids et performances : Poids à vide : 1350 kg ; Vitesse maximale : 294 km/h ; Accélération : 0 à 100 km/h en 4,7 s ; Consommation mixte : 15,2 L/100 km.
Châssis Carrosserie : Coupé 2 portes. (Targa et Cabriolet).
Suspensions : Triangles superposés.
Freins : Disques ventilés AV/AR : 300/305 mm.
Dimensions : Longueur : 4250 mm ; Largeur : 1900 mm ; Hauteur : 1170 mm ; Empattement : 2450 mm ; Voies AV/AR : 1514 mm/1615 mm ; Volume du coffre : 149 dm3.

Encore abordable à l’achat d’occasion, son entretien quant à lui est bien-sûr excessivement onéreux comme pour toute Ferrari qui se respecte ; comptez 7000 € tous les 5 ans pour le changement des courroies de distribution chez le concessionnaire (moitié moins chez un indépendant), 5000 € pour un échappement, 600 € pour 4 nouveaux pneus… 

Prix du modèle neuf en 1994 : 735.000 F soit 155.253 € avec 38,6 % d’inflation.

Côte actuelle : à partir de 40.000 €.

À lire sur Echoretro : Spécial Ferrari vintage (1957-1992) – Dix modèles prestigieux

Photo de présentation haut de page : Ferrari F355 Fiorano.

Disque – Gérald de Palmas – La Dernière Année (1994)

Gérald de Palmas est un chanteur français originaire de La Réunion. Au milieu des années 80, il rejoint en tant que bassiste-chanteur le groupe Les Max Valentin, qui est composé de deux amis d’enfance : Édith Fambuena (guitariste) et Jean-Louis Piérot (claviériste). Les Max Valentin rencontrent Étienne Daho dans la discothèque Le Mistral, à Aix-en-Provence, lors de sa tournée Satori Tour. Gérald lui présente leurs compositions. Étienne Daho est séduit et leur propose de les signer sur son tout nouveau label Satori Songs ; le groupe enregistre deux 45 tours : “Les Maux dits” et “Printemps parapluie” en 1987. En 1988, Gérald de Palmas quitte le groupe (qui continue en duo sous le nom Les Valentins) et se lance dans une carrière solo. Pendant sept ans, il compose seul ses chansons et en 1994, juste après avoir remporté le concours du talent de demain sur M6, il sort son premier album.

La Dernière Année (1994) : ce premier opus est marqué par des influences musicales multiples (pop, soul, folk, funk, rhythm’n’blues et jazz), et les compositions de De Palmas en sont une synthèse assez étonnante, portée sa voix d’une grande plasticité. L’album contient le tube «Sur la route», qui figure en deux versions (version originale et version acoustique) et lui vaut la Victoire de la musique de la révélation masculine de l’année en 1995. Un grand moment de la musique populaire française des années 1990.

Son deuxième album intitulé Les Lois de la nature, ne remporte pas le succès attendu. Il faut attendre l’an 2000 pour que le succès vienne.

Marcher dans le sable (2000) : il s’agit de son premier album pour le label Polydor (Universal). Jean-Jacques Goldman lui écrit les paroles de la chanson “J’en rêve encore” et sa confiance revenant, Gérald écrit et compose alors dix des douze chansons de son nouvel album, Marcher dans le sable. L’année 2002 est celle de la consécration : élu artiste interprète masculin des Victoires de la musique, album francophone de l’année des NRJ Music Award, il entame une tournée de plus de 180 concerts. Sa chanson “Tomber”, sur des paroles de Maxime Le Forestier, passe même l’Atlantique, Céline Dion la reprenant en anglais sous le titre “Ten Days”. À la fin de l’année, à l’issue d’une tournée qui affiche complet dans toutes les villes de France, un album et un DVD live sont édités. Marcher dans le sable reste à ce jour l’album le plus vendu du chanteur avec plus d’un million d’exemplaires écoulés et une certification de diamant. Il s’est classé numéro 2 en France et en Belgique wallonne et est resté presque deux ans dans les classements des Hit-Parades.

De Palmas reçoit le NRJ Music Award de l’artiste masculin francophone de l’année 2003. Il revient ensuite avec un quatrième album.

Un Homme sans racines (2004) : est plus intime, avec des musiques plus dépouillées, mais toujours avec le même style mélancolique.

Sortir (2009) : Après un conflit avec sa maison de disques Universal, son cinquième album sort chez AZ en même temps que le single “Au bord de l’eau”. Puis suivent deux autres singles : “Dans une larme” et “Mon cœur ne bat plus”. Il partage notamment un duo avec Eagle-Eye Cherry : “Pandora’s Box”.

Sur ma route (2011) : est une compilation double composée de 27 titres et d’un inédit : “L’Étranger”. Cet album sera vendu à 600.000 exemplaires.

De Palmas participe à plusieurs reprises aux concerts des Enfoirés, est choriste sur la plupart des albums du chanteur de funk Sinclair, et écrit quelques titres dont le succès “Marie” sur l’album À la vie à la mort de Johnny Hallyday.

De Palmas (2013) : dont sont extraits les singles “Serait-il ?” et “Je me souviens de tout”.

La Beauté du geste (2016) : est le huitième album studio de Gérald de Palmas. Voici les commentaires de cet album sur son site : “Puisqu’il est question de retour aux fondamentaux, La beauté du geste a été enregistré à l’ancienne, avec des vrais gens. Gérald de Palmas a booké un studio de répétition parisien pendant deux mois, y a déposé son matériel (l’ordinateur, les vieux synthés) et convoqué ses musiciens. Ils ont tout enregistré sur place. Et même mixé le disque. Dix chansons captées pour la plupart dans les conditions du live. Les voix notamment. Car avec un groupe aux fesses, Gérald, qui profite de son énergie, chante mieux. Il a conservé la plupart de ces moments rares, lorsque les musiciens découvrent une chanson. Elles s’ouvrent à eux et ils s’amusent avec. Lui, le chanteur réservé, s’est donné à fond, comme pour esbroufer son groupe. Cette magie de l’instant a été saisie”.

Discographie :

1994 : La Dernière Année
1997 : Les Lois de la nature
2000 : Marcher dans le sable
2002 : Live 2002
2004 : Un homme sans racines
2009 : Sortir
2009 : EP Live Itunes à Paris
2011 : Sur ma route (Compilation)
2013 : De Palmas
2016 : La Beauté du geste

Voir sur YouTube : “Gérald De Palmas- Sur La Route” par Lilacsinm ; “gerald depalmas jen reve encore” par ryu59500 ; “Gérald De Palmas – Une seule vie” par GeralddePalmasVEVO ; “De Palmas – Au paradis – clip” par Nicolas ROGER ; “Gérald De Palmas – Elle s’ennuie” et “De Palmas – Le jour de nos fiançailles” par GeralddePalmasVEVO

https://www.youtube.com/watch?v=zgffzlhIFnE

 

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