Présentation de la webradio

La webradio du blog est en ligne depuis le début du mois d’avril 2018. Elle reprend (entre autre) la musique des artistes et groupes qui sont évoqués sur Echoretro à la rubrique Disques. Elle est essentiellement consacrée au Pop-Rock, et dans une moindre mesure au Funk, au Disco et à la Variété Française, dans une fourchette chronologique allant des années 60 à fin 90, bien que certains titres soient plus récents ou actuels. Si vous avez apprécié ces articles, vous aimerez sûrement la radio. Alors, n’hésitez pas à cliquer sur le lien ci-dessous.

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La Playlist est :

100 % Anglo-saxonne tous les jours de 00h00 à 22h00.

100 % Française tous les jours de 22h00 à 00h00.

AOR et Rock Sudiste entre 00h00 et 01h00.

Lounge, Chill-Out et Ambient entre 01h00 et 02h00.

Jazz Fusion, Jazz Rock, Jazz Funk et Acid Jazz entre 02h00 et 03h00.

Bonne écoute.

Oldtimer – Iso Rivolta Fidia 300 (1967-74)

Avec la marque Iso Rivolta, l’Italie rejoignait les autres constructeurs européens utilisant une motorisation américaine dans des caisses fabriquées sur place, comme Facel Vega en France qui fut le pionnier dans ce domaine, Monteverdi en Suisse ou Gordon-Keeble et Jensen en Grande Bretagne. Le premier modèle d’Iso Rivolta fut la GT 300. Sa motorisation était empruntée à Chevrolet et en particulier aux moteurs et boîtes des Corvette. Le Châssis plate-forme avait été dessiné par l’ingénieur Giotto Bizzarini qui était l’auteur de la Ferrari GTO. Le pont était un De Dion et la suspension était assurée par des triangles et amortisseurs. La carrosserie était un gros coupé à deux portes dû au crayon de Giorgetto Giugiaro de chez Bertone. Très bien fini, il pouvait rivaliser avec les plus belles GT du marché. Il fut suivi par un coupé deux places sport, la Grifo et, en 1968, apparut la berline Fidia présentée à Francfort en 1967.

D’abord S4 puis Fidia :

La Fidia, était le seul modèle à quatre portes d’Iso. La production ne commença que peu de temps après la présentation initiale de la voiture, et son lancement eut lieu à Athènes, plus d’un an plus tard, en février 1969. Au moment de sa promotion à la presse spécialisée, 15 voitures avaient déjà été construites, mais ce n’est qu’en février 1969 que la voiture échangea son nom « S4 » pour « Fidia », jugé plus euphonique. Le choix d’Athènes pour le lancement presse était lié au nouveau nom de la voiture, Fidia, qui était le nom (communément orthographié « Phidias » par les classiques anglophones) de l’artiste qui avait supervisé 24 siècles plus tôt la création des frises du Parthenon (et qui en 1816 réapparurent au British Museum, suite à leur retrait controversé en 1802 par Lord Elgin). À certains égards, Athènes n’était pas un bon choix pour ce lancement : le carburant disponible localement était de trop mauvaise qualité pour l’unique voiture mise à la disposition des journalistes, et le bref essai routier dans les banlieues de la ville fut un fiasco.

Une voiture luxueuse et fiable : 

La voiture fut commercialisée comme une combinaison unique de confort et de performance sportive, et le slogan qui apparut dans les brochures de vente fut évocateur : « Le quattro poltrone piu veloci del mondo » (« les quatre fauteuils les plus rapides du monde »). La Fidia, remarquable mélange de l’élégance italienne et de la fiabilité d’un gros moteur américain, telle était la solution adoptée par Iso Rivolta. Le design de la carrosserie était l’œuvre de Giorgetto Giugiaro (alors chez Ghia). L’intérieur présentait du bois poli et du cuir cousu à la main. Les coûts de développement élevés engendrèrent un prix d’achat plus élevé que celui d’une Rolls-Royce. Les principaux concurrents de la Fidia étaient d’autres berlines luxueuses et sportives comme la Maserati Quattroporte. La deuxième Fidia (et la première avec conduite à droite) fut achetée par la Popstar anglaise John Lennon.

En 1971 la voiture reçut un nouvel intérieur, qui l’aligna avec l’Iso Lele. Le tableau de bord en bois fut remplacé par un tableau en cuir, que les commentateurs trouvèrent plus élégant mais aussi moins pratique.

La Fidia, comme les autres voitures de la marque Iso, était à l’origine propulsé par un moteur Chevrolet V8, et était assez rapide. En 1973, après que General Motors ait exigé le paiement avant l’expédition, le fournisseur du moteur fut changé et les voitures furent livrées avec un V8 Ford de 5,8 litres et une boîte manuelle ZF à cinq vitesses ou bien avec le propre Cruise-O-Matic de Ford pour la boîte de vitesses automatique.

Un succès relatif :

Dans le segment de marché raréfié qu’elle occupait, la voiture avait tendance à se trouver éclipsée par la Maserati Quattroporte, elle-même jamais vendeuse de masse. Jusqu’à ce que Maserati se retire du marché en réaction au choc économique qui avait entraîné une hausse élevée des prix du pétrole, le Fidia se vendit bien face à son concurrent de Modène. Au total, 192 furent construites, et 87% de la production fut expédiée au USA.

Caractéristiques techniques : Voir Brochure ci-dessous.

Prix du modèle neuf en 1970 : 85.331 Francs soit 97.213 € avec 647 % d’inflation.

Côte actuelle : à partir de 80.000 €.

Film – Fight Club (1999)

Le film commence très fort, alors que Jack, notre narrateur (Edward Norton), lorgne avec effroi sur le canon d’un pistolet dont l’extrémité est enfoncée dans sa bouche. L’action se situe dans un grand loft avec vue sur la ville obscure. L’arme est tenue par un homme du nom de Tyler (Brad Pitt) qui vérifie régulièrement sa montre, et engage un décompte avant l’explosion des immeubles piégés qui leur font face. Jack se rappelle comment il a rencontré Tyler et nous projette au tout début de l’histoire.

Fight Club est inspiré du livre de Chuck Palahniuk. C’est un de ces rares films qui fait qu’après l’avoir visionné, vous n’êtes plus tout à fait le même. Et bien qu’il commence par la fin, vous n’êtes pas à l’abri de moultes surprises et rebondissements. Certes, le film est violent. Mais la violence n’est utilisée ici que de façon salutaire, comme vecteur d’un message et non comme une fin en soi. Les dialogues choisis sont là pour nous réveiller de notre léthargie de zombie endormi par le système néolibéral et certains passages dénoncent notre société consumériste sans aucun filtre, ce qui n’est pas courant. Le jeu d’acteur est parfait (y a-t-il eu un personnage plus mémorable que Brad Pitt dans le rôle de Tyler Durden?), La musique, le scénario, l’éclairage, le rythme, tout est réussi.

Avec David Fincher, (« Seven », « The Game »), on pouvait s’attendre à une bonne intrigue et un excellent jeu d’acteur mais au final, on trouve beaucoup plus. Une satire sociale reflétant l’état de notre pauvre monde à la fin du siècle dernier, lequel en l’espace de presque 20 ans, à d’ailleurs bien empiré. Un film qui mérite largement son statut de film culte et vous donne un sacré coup de poing dans la figure…

L’histoire : 

Jack est insomniaque depuis six mois. Son travail en tant que spécialiste itinérant du rappel de produits pour une entreprise automobile n’aide pas son insomnie puisqu’il doit voyager souvent, ressentant des périodes de décalage horaire en plus du stress quotidien de sa position. Comme dérivatif, il parcourt les catalogues d’Ikea ​​en achetant le prochain décor à ajouter à son appartement ; il est un esclave autoproclamé du consumérisme. Il se rend chez son médecin pour demander de l’aide, mais tout ce que le médecin peut faire c’est de lui suggérer de consulter un groupe de soutien de l’église méthodiste pour les malades du cancer des testicules afin de voir ce qu’est la vraie douleur. Là, le narrateur rencontre Robert «Bob» Paulson (Meat Loaf), le «gros nounours», un ex-bodybuilder et utilisateur de stéroïdes qui souffre d’un cas extrême de gynécomastie due à un traitement hormonal après que ses testicules ont été enlevés. Coincé entre les énormes seins de Bob, Jack trouve enfin la paix et éclate en sanglots. La libération émotionnelle lui permet de dormir et il devient ensuite accro aux groupes de soutien, cartographiant sa semaine en assistant à différentes réunions et feignant la maladie. Cependant, l’apparition d’une femme nommée Marla Singer (Helena Bonham Carter) détraque le «système» du narrateur. Il la reconnaît comme une «touriste» bluffeuse, l’ayant vue à de multiples réunions, et il est perturbé par ses mensonges au point de ne plus pouvoir dormir à nouveau.

Après une réunion, Jack se confronte à elle mais elle rétorque qu’elle fait exactement la même chose que lui, que les groupes sont «moins chers qu’un film et qu’il y a du café gratuit». Au lieu de se quereller, ils acceptent de se répartir les séances. Malgré ses efforts, l’insomnie du narrateur continue. Sur un vol de retour d’un de ses voyages d’affaires, Jack rencontre Tyler Durden. Tyler lui offre une perspective unique sur les manuels de procédures d’urgence dans l’avion et entame une conversation informelle. Tyler est un vendeur de savon, mais travaille aussi les nuits en tant que projectionniste et glisse des images subliminales de porno entre les rouleaux de pellicules. Edward arrive à la consigne de bagages pour découvrir que sa valise a été confisquée, en raison d’une vibration mystérieuse, avant de rentrer chez lui. Cependant, la maison, une copropriété située au quinzième étage, a explosé dans la nuit suite à une fuite de gaz. N’ayant nulle part où aller, le narrateur retrouve la carte de visite de Tyler et l’appelle. Ils se retrouvent dans un parking derrière un bar où Tyler l’invite à venir vivre chez lui… à une condition : qu’il le frappe du mieux qu’il peut. Jack, bien que perplexe, se conforme à sa demande et ils s’engagent dans un combat de poing avant de partager quelques verres. L’expérience est pour lui étonnamment euphorique.

Tyler et Jack s’engagent dans d’autres combats au cours des prochains jours et attirent rapidement l’attention d’autres «durs». Constatant la croissance de leur petit groupe de combat, Tyler fonde un club de combat clandestin dans le sous-sol du bar où ils ont eu leur premier combat. Les adhésions augmentent rapidement et Tyler et le narrateur façonnent une série de règles, les deux premières étant «il est interdit de parler du Fight Club». 

Peu à peu, Jack découvre une nouvelle façon de vivre et de voir les choses. Tyler le pousse à s’affranchir des règles sociales, ce qui a vite des conséquences sur son travail. Mais il s’en moque car il a pris goût au Fight Club et à la violence. Par contre, il n’apprécie pas que Tyler commence une relation avec Marla Singer. Il s’inquiète aussi de la dernière trouvaille de Tyler, le mystérieux Projet Chaos qui amène les membres du Fight Club à se transformer en une milice dont le but reste peu clair. Il reproche à Tyler de le tenir à l’écart et décide d’arrêter le projet lorsqu’une opération de sabotage provoque la mort d’un de ses membres, Bob, l’ami du narrateur rencontré lors de sa première réunion de soutient chez les cancéreux des testicules…

Voir sur YouTube : « Fight Club (VF) » par Films YouTube

Oldtimer – Mercedes C111 (1969-1978)

À ce jour, la Mercedes C111 demeure peut-être le plus important laboratoire roulant jamais réalisé par la firme de Stuttgart. Faisant suite à un accord d’exploitation sous licence du moteur rotatif conçu par le docteur Wankel, le coupé C111 (désigné à l’origine sous le numéro de code C101) sera présenté au grand public dans le cadre du Salon de Francfort de 1969 et décrit à la presse comme un modèle expérimental préfigurant un futur coupé Grand Tourisme animé par un moteur Wankel. Nanti d’une carrosserie polyester d’une ligne incroyablement moderne et épurée, son poids se limite à un peu plus d’une tonne. Les dimensions sont relativement compactes (112 cm au garot, 180 cm de large pour 423 cm de longueur) et ses portières s’ouvrent en ailes de mouette, comme sur les légendaires 300 SL Gullwin de la maison.

Le premier prototype est équipé d’un trirotor Wankel : 

Son capot busqué plonge vers le sol et l’étoile désignant la marque trône fièrement à l’avant comme à l’arrière.  Cette ligne basse, tendue et taillée à la serpe garantit un coefficient de pénétration dans l’air remarquable ainsi qu’une grande stabilité à haute vitesse. L’habitacle de cette deux places s’avère complet comme celui d’une Mercedes classique. La C111 est la première voiture équipée d’un moteur rotatif à trois pistons dont le très faible encombrement permet une implantation en position centrale, en avant de l’essieu arrière. C’est le gage d’un remarquable centrage des masses, comme sur les meilleures voitures de course. Ce moteur dont la cylindrée est de 1800 cm3 réels, développe 280 ch avec une injection Bosch.

Mercedes en restera cependant à un stade purement expérimental pour ce modèle, après avoir jugé que l’époque n’était pas propice au lancement d’un tel modèle. À défaut, la C111 continuera à jouer un rôle de laboratoire roulant.

Les autres versions : Au Salon de Genève 1970, une nouvelle version sera présentée avec une carrosserie sensiblement affinée (voir images de présentation et ci-dessous), une finition intérieure plus élaborée et un nouveau moteur à 4 rotors (une première mondiale). Délivrant cette fois 400 chevaux DIN, cette C111 abondamment revue et corrigée pouvait dépasser les 300 km/h.

En 1976, un moteur diesel cinq cylindres de 3 litres turbo développant 190 chevaux, lui permet de rouler à plus de 250 km/h de moyenne sur circuit ovale. Enfin, pour terminer sa carrière, elle est équipée d’un V8 de 4,5 litres à essence développant 500 chevaux qui lui permet de dépasser les 400 km/h.

Film – Usual Suspects (1995)

Usual Suspects, c’est deux films en un. Il est déjà très captivant la première fois que vous le regardez, mais c’est encore plus agréable de le voir une deuxième fois. Le premier visionnement pose des questions auxquelles on essaie de répondre tant bien que mal dans les dernières minutes du film, mais le second est aussi intéressant parce vous connaissez la fin, et ainsi, le film devient beaucoup plus clair. Cela nécessite toutefois un certain engagement. Soyez avertis, si vous arrêtez de vous concentrer pendant un moment, la durée restante du film sera perdue à essayer de comprendre comment ce que vous avez manqué a conduit à ce que vous regardez maintenant.

Le film est réalisé par Bryan Singer et les personnages sont interprétés par Kevin Spacey (Roger «Verbal» Kint), Gabriel Byrne (Dean Keaton), Stephen Baldwin (Michael McManus), Benicio Del Toro (Fred Fenster), Kevin Pollak (Todd Hockney), Chazz Palminteri (Dave Kujan) et Pete Postlethwaite (Kobayashi).

L’histoire :

Le film se déroule à la suite d’un incendie de navire dans lequel disparait totalement la cargaison et l’équipage. Bien qu’inoffensif et handicapé, Verbal est le seul survivant à s’être tiré indemne de l’incident. Il est placé en garde à vue et questionné par la police. Brillamment joué dans un style caractéristique et discret qui a valu à Spacey un Oscar du meilleur second rôle, Verbal doit être relâché. Mais avant d’être libéré, Kujan, un agent des Douanes américaines, se présente pour l’interroger. Kujan essaie de monter un dossier contre Keaton et il veut que Verbal témoigne en échange de l’immunité. Verbal refuse, mais Kujan intimide toujours Verbal en évoquant l’histoire de Keaton, McManus, Fenster et Hockney, menant à l’explosion du navire.

Ce qui suit est une fantastique improvisation de mensonges dans lesquels sont habillement distillés des demi-vérités. Ils sont magistralement décrits comme une série de flashbacks tandis que Verbal et Kujan sirotent un café et parlent au poste de police de Los Angeles. L’histoire commence six semaines plus tôt à New York tandis que Verbal et les quatre autres criminels sont embarqués par la police pour une parade d’identification par des témoins. Aucun d’entre eux n’est formellement accusé d’un crime, mais il y a des soupçons qui pèsent sur Keaton. Avant qu’ils ne soient libérés, les cinq malfrats planifient un braquage pour se venger du NYPD corrompu en volant un trafiquant de bijoux protégé par la police et en laissant fuiter l’implication de la police à la presse. Mais Keaton est réticent et doit être encouragé avec la promesse que personne ne sera tué dans le cambriolage. Il est d’accord et le quintet mène le cambriolage à la perfection. Le jeu et l’écriture sont parfaits, chaque acteur s’immergeant pleinement dans son rôle. Del Toro crée un personnage coloré unique dans son interprétation de Fenster, Baldwin exprime un manque de contrôle imprudent et une grande soif de violence, Pollak montre un courage et une détermination inébranlables, Byrne est un mélange complexe de ténacité et de pulsions qui le tirent dans toutes les directions. Chaque acteur est au sommet de son jeu.

Les cinq criminels se terrent à Los Angeles au lendemain du hold-up de New York. Là, ils sont impliqués dans un autre vol qui est supposé n’impliquer aucun meurtre. Malheureusement, ils se trompent lourdement. Tandis que Verbal raconte les problèmes croissants, l’hostilité de l’équipage et le carnage qui a suivi, l’agent Kujan est informé par un de ses collègues qu’un survivant a été repêché près de l’épave carbonisée du navire. Le témoin est gravement brûlé et ne parle pas anglais, mais il insiste sur le fait que l’homme responsable de la destruction de la vie et des biens sur le navire est le mystérieux et fantomatique Keyser Soze, une légende parmi la fraternité criminelle, un homme que personne n’a jamais vu, un homme si dangereux qu’il est considéré comme le diable en personne…

La dynamique entre Kujan et Verbal lui-même est un pur divertissement. Une sorte de jeu de chat et de souris, des nuances sont jetées dans les procédures qui rendent le dialogue intéressant et ajoutent de la profondeur aux personnages. Même la façon dont l’interrogatoire est filmée est unique. Verbal n’a pas obtenu son surnom sans raison. Il sait comment noyer le poisson et Kujan a du mal à le contrôler. Kujan soupçonne Keaton et croit que Keaton a manipulé Verbal. Mais Verbal est difficile à cerner et Kujan recourt parfois à des tactiques d’intimidation.

Mais qui est Kaiser Soze? A-t-il orchestré la parade d’identification à New York et tiré toutes les ficelles depuis? La cargaison du navire était-elle de la drogue ou seulement une cargaison humaine? Pourquoi Verbal s’en est-il sorti indemne alors que les autres sont morts? Est-ce que Keaton est vraiment mort, comme le certifie Verbal, ou est-ce qu’il s’est enfui, comme le croit Kujan? Est-ce que Verbal dit la vérité? Beaucoup de choses sont révélées dans les derniers instants du film. Des extraits de dialogues du début du film sont évoqués à nouveau, fournissant des indices sur le vrai et le faux dans le témoignage de Verbal. La fin est magistrale. Un film à voir et à revoir…

Voir sur YouTube : « Usual Suspects (1995) bande annonce » par imineo Bandes Annonces

https://www.youtube.com/watch?v=21b1aUttAv4

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