Série TV – Les Enquêtes du Commissaire Maigret (1967-90)

Georges Simenon apprécia l’interprétation de son célèbre Maigret par l’acteur Jean Richard. Comme il le déclara au micro du présentateur d’une émission d’actualité de 1967, lors de la sortie du premier épisode : “Ce qui m’importe le plus dans les acteurs qui jouent Maigret, c’est leur poids. Je ne parle pas de leur volume, on peut avoir beaucoup de poids et être tout maigre, je parle de leur présence, il faut un acteur avec beaucoup de densité car lorsque Maigret dit à un de ses prévenus de s’assoir, il faut que ce dernier soit pris de trac en entendant ça, même s’il le dit très gentiment. Je pense que Jean Richard a l’épaisseur et la subtilité du personnage”.

“Les Enquêtes du commissaire Maigret” est une série télévisée française en 88 épisodes, dont 18 en noir et blanc, d’une durée de 90 minutes en moyenne, créée par Claude Barma et Jacques Rémy d’après l’œuvre de Georges Simenon. C’est la première adaptation française pour la télévision. Elle a été diffusée entre 1967 et 1990 sur la première chaîne puis sur Antenne 2.

Cette série met en scène les enquêtes du célèbre commissaire fumeur de pipe. Les épisodes sont filmés dans des décors contemporains de la période de tournage contrairement aux Maigret interprétés par Bruno Cremer, filmés, eux, en décor «années 50». Cela permet de voir les changements de la société française entre la fin des années 60 et le début des années 90, en même temps que blanchissent les cheveux de Jean Richard.

En février 1967, juste avant le tournage du premier épisode, une rencontre entre Jean Richard et Georges Simenon fut organisée dans le domicile suisse de ce dernier, à Epalinges. En voyant Jean Richard, Georges Simenon s’écria : « Bravo ! vous tenez votre pipe comme quelqu’un qui a l’habitude. Ce n’est pas comme Gabin, on voyait à quinze mètres que ce n’était pas un vrai fumeur de pipe ! La vôtre est pourtant mal équilibrée, elle ne vous va pas très bien. Tenez, je vous offre ces deux-là. Ce seront les pipes de Maigret. Vous savez qu’il doit toujours en avoir deux sur lui. » Et il ajouta « J’espère qu’on va vous trouver une petite Mme Maigret bien dodue. Attention ! Il est tendre avec sa femme, Maigret. Mais il ne l’embrasse pas, il lui donne simplement une petite tape sur les fesses.»

Voir sur YouTube : Jean Richard “La petite claque sur les fesses de Maigret” par Archive INA et Jean Richard “Comment je suis devenu Maigret” par Archive INA

Oldtimer – Toyota 2000 GT (1967-70)

Cet élégant coupé sport à deux places présenté en avant-première en novembre 1965 et commercialisé en toute petite série à partir de 1967 peut être considéré comme une magistrale exception dans la production automobile japonaise des années soixante. Très inspirée de l’école latine, sa carrosserie aux courbes agressives se voulait en rapport avec sa mécanique ambitieuse. Sa seule concurrente nippone dont la plastique était elle aussi avantageuse fut la Datsun 240 Z qui entama sa carrière en 1970.

Une conception sophistiquée :

Le moteur 6 cylindres en ligne deux litres inédit de la 2000 GT développait 150 chevaux. Il était alimenté par 3 carburateurs, équipé de deux arbres à cames en tête et accouplé à une boîte 5 vitesses ; la Toyota 2000 GT proposait aussi 4 freins à disque et une suspension indépendante à l’avant comme à l’arrière. La carrosserie était entièrement fabriquée en tôles d’acier façonnées à la main, à l’exception des deux portillons latéraux qui sont en fibre de verre. Celui de gauche abrite le filtre à air et celui de droite, la batterie. Les phares étaient profilés derrière des vitres en plexiglas. La voiture étant destinée entre autres au marché nord-américain, il a été nécessaire de satisfaire une loi californienne qui impose une hauteur minimum des phares avant à 60 cm du sol. C’est la raison pour laquelle des phares escamotables ont été ajoutés.

Inspirée de la carrosserie de la Jaguar type E et du châssis de la Lotus Elan :

L’une des particularités de la Toyota 2000 GT était son châssis à structure en poutre centrale. Construit en acier, il est directement inspiré de celui de la Lotus Elan. En forme de « X », le moteur et la boîte de vitesses sont logés entre les deux branches avant alors que le pont vient se placer entre les branches arrière. Cette construction a permis une répartition optimale des masses de 51/49 % du poids respectivement sur le train avant et sur l’essieu arrière. La carrosserie vient poser sur ce châssis auquel elle est vissée.

Susceptible d’atteindre 220 km/h, cette japonaise au moteur vitaminé entrait théoriquement en concurrence avec la Jaguar type E, la Porsche 911, ou la Fiat Dino, mais sur le marché européen, sa diffusion devait rester confidentielle, ce modèle ayant un rôle de vecteur d’image dans la gamme Toyota. De fait, sa production ne dépassa pas 351 exemplaires sur 3 ans, dont 25 seulement furent exportés en Europe.

La vedette auto du cinquième Bond en 1967 :

À noter que la Toyota 2000 GT a connu la célébrité internationale en jouant les vedettes automobile dans le cinquième opus de James Bond “On ne vit que deux fois” tourné en 1967. Durant son périple, Sean Connery interprétant l’agent 007 est sauvé des attaques du Spectre par l’agent des services secrets japonais Aki au volent d’une Toyota 2000 GT. La particularité de cette auto est qu’elle est en version découvrable. L’acteur Sean Connery avait un peu de peine à s’introduire dans l’habitacle exigu de la 2000 GT. De plus, pour réaliser des prises de vues « en roulant », il n’y avait pas de place pour une caméra. La production a donc demandé à Toyota s’il était possible de construire un spider. Toyota, voyant là un coup de publicité bienvenu, s’exécuta sur le champ et fabriqua deux spiders pour les besoins du film. Aujourd’hui, il ne reste qu’un seul exemplaire, conservé au Musée Toyota au Japon.

Caractéristiques Techniques : voir brochure ci-dessous (Scan 06 extrait de la revue “Salon de l’Auto 70”).

Prix du modèle neuf en 1970 : 30.000 F soit 35.000 € avec 670 % d’inflation sur la période.

Cote d’occasion : Contrairement à sa consœur nippone (la Datsun 240 Z) que l’on trouve encore à partir de 15.000 €, un exemplaire de Toyota 2000 GT est aussi peu fréquent qu’un mouton à cinq pattes, et il faudra flirter avec le demi-million d’euros sur votre compte en banque pour qu’un de ses heureux propriétaire veuille bien vous la céder. À ce prix là, elle sera bien-sûr en état concours…

Oldtimer – Iso Rivolta Fidia 300 (1967-74)

Avec la marque Iso Rivolta, l’Italie rejoignait les autres constructeurs européens utilisant une motorisation américaine dans des caisses fabriquées sur place, comme Facel Vega en France qui fut le pionnier dans ce domaine, Monteverdi en Suisse ou Gordon-Keeble et Jensen en Grande Bretagne. Le premier modèle d’Iso Rivolta fut la GT 300. Sa motorisation était empruntée à Chevrolet et en particulier aux moteurs et boîtes des Corvette. Le Châssis plate-forme avait été dessiné par l’ingénieur Giotto Bizzarini qui était l’auteur de la Ferrari GTO. Le pont était un De Dion et la suspension était assurée par des triangles et amortisseurs. La carrosserie était un gros coupé à deux portes dû au crayon de Giorgetto Giugiaro de chez Bertone. Très bien fini, il pouvait rivaliser avec les plus belles GT du marché. Il fut suivi par un coupé deux places sport, la Grifo et, en 1968, apparut la berline Fidia présentée à Francfort en 1967.

D’abord S4 puis Fidia :

La Fidia, était le seul modèle à quatre portes d’Iso. La production ne commença que peu de temps après la présentation initiale de la voiture, et son lancement eut lieu à Athènes, plus d’un an plus tard, en février 1969. Au moment de sa promotion à la presse spécialisée, 15 voitures avaient déjà été construites, mais ce n’est qu’en février 1969 que la voiture échangea son nom “S4” pour “Fidia”, jugé plus euphonique. Le choix d’Athènes pour le lancement presse était lié au nouveau nom de la voiture, Fidia, qui était le nom (communément orthographié “Phidias” par les classiques anglophones) de l’artiste qui avait supervisé 24 siècles plus tôt la création des frises du Parthenon (et qui en 1816 réapparurent au British Museum, suite à leur retrait controversé en 1802 par Lord Elgin). À certains égards, Athènes n’était pas un bon choix pour ce lancement : le carburant disponible localement était de trop mauvaise qualité pour l’unique voiture mise à la disposition des journalistes, et le bref essai routier dans les banlieues de la ville fut un fiasco.

Une voiture luxueuse et fiable : 

La voiture fut commercialisée comme une combinaison unique de confort et de performance sportive, et le slogan qui apparut dans les brochures de vente fut évocateur : “Le quattro poltrone piu veloci del mondo” (“les quatre fauteuils les plus rapides du monde”). La Fidia, remarquable mélange de l’élégance italienne et de la fiabilité d’un gros moteur américain, telle était la solution adoptée par Iso Rivolta. Le design de la carrosserie était l’œuvre de Giorgetto Giugiaro (alors chez Ghia). L’intérieur présentait du bois poli et du cuir cousu à la main. Les coûts de développement élevés engendrèrent un prix d’achat plus élevé que celui d’une Rolls-Royce. Les principaux concurrents de la Fidia étaient d’autres berlines luxueuses et sportives comme la Maserati Quattroporte. La deuxième Fidia (et la première avec conduite à droite) fut achetée par la Popstar anglaise John Lennon.

En 1971 la voiture reçut un nouvel intérieur, qui l’aligna avec l’Iso Lele. Le tableau de bord en bois fut remplacé par un tableau en cuir, que les commentateurs trouvèrent plus élégant mais aussi moins pratique.

La Fidia, comme les autres voitures de la marque Iso, était à l’origine propulsé par un moteur Chevrolet V8, et était assez rapide. En 1973, après que General Motors ait exigé le paiement avant l’expédition, le fournisseur du moteur fut changé et les voitures furent livrées avec un V8 Ford de 5,8 litres et une boîte manuelle ZF à cinq vitesses ou bien avec le propre Cruise-O-Matic de Ford pour la boîte de vitesses automatique.

Un succès relatif :

Dans le segment de marché raréfié qu’elle occupait, la voiture avait tendance à se trouver éclipsée par la Maserati Quattroporte, elle-même jamais vendeuse de masse. Jusqu’à ce que Maserati se retire du marché en réaction au choc économique qui avait entraîné une hausse élevée des prix du pétrole, le Fidia se vendit bien face à son concurrent de Modène. Au total, 192 furent construites, et 87% de la production fut expédiée au USA.

Caractéristiques techniques : Voir Brochure ci-dessous.

Prix du modèle neuf en 1970 : 85.331 Francs soit 97.213 € avec 647 % d’inflation.

Côte actuelle : à partir de 80.000 €.

Oldtimer – Matra-Sports 530 (1967-73)

Au salon de Paris 1962, René Bonnet, désormais séparé de Charles Deutsch, avait présenté la Djet, une intéressante berlinette à moteur central arrière. Lorsque le groupe Matra décida en 1964 de se diversifier dans l’automobile, il commença par s’associer à René Bonnet pour produire la Djet sous la marque Matra-Bonnet puis, les Jet 5 et 6 sous la marque Matra-Sports, sans René Bonnet. La 530 fut dévoilée au au salon de Genève au printemps 1967 et son prix de vente était de 16.190 F. Ce coupé purement Matra, dont le nom évoquait celui d’un missile réputé de la firme, se caractérisait par ses phares escamotables, son toit démontable en deux parties et ses places arrières. La première version ne développait que 72 chevaux.

Un concept ultra-moderne et une bonne tenue de route :

La Djet à moteur central avait fait la preuve d’un excellent comportement dynamique avec son moteur central arrière. Matra conserva cette solution sur une plate-forme très rigide en tôle soudée ajourée rappelant la construction aéronautique. Sur le soubassement venaient se fixer par boulonnage des éléments de carrosserie en matière plastique (époxy d’abord, polyester ensuite). Ses lignes, très anguleuses rappelaient celle des sports-prototypes 620 et 630 et le toit amovible, celui des porsche Targa. Selon les journaux spécialisés de l’époque, la 530 possédait une très bonne tenue de route, une suspension très confortable et un freinage excellent.

Mais un moteur qui manque de puissance :

Lors de sa présentation à la presse, José Rosinski ne parvint pas à dépasser 162 km/h en pointe avec un 400 mètres départ arrêté en 19″4 et un kilomètre en 37″… Pour regrouper les masses principales dans l’empattement d’un petit coupé 2+2, il fallait un moteur court et transversal. Le choix de Matra se porta sur le V4 de la Ford Taunus 15 M. Un si bon châssis aurait mérité bien mieux, et la version à carburateur double corps de 1969 ne constitua qu’une amélioration mineure.

Les versions : 

La 530 (1969) : la puissance du moteur Ford Taunus 17M RS, passe de 72 ch à 78 ch DIN grâce à un carburateur double corps à ouverture différenciée tandis que les rapports de vitesses sont rapprochés. La vitesse passe à 177 km/h en pointe, le 400 mètres à 18″6 et le kilomètre à 35″.

La 530 LX (1970) : Elle est reconnaissable aux butoirs avant en caoutchouc (à la place de la barre de protection tubulaire), aux bas de caisse et à la face arrière noir mat avec des bordures chromées, aux roues sans enjoliveurs avec des cabochons en plastique noir, à la lunette arrière non amovible en verre et au tableau de bord imitation bois avec un rembourrage de sécurité. Les roues en alliage léger sont en option. À la suite de la prise de participation de Simca dans la marque, la 530 LX est distribuée dans le réseau Simca début avril 1970 malgré son moteur Ford. Au Salon de Paris 1970, la LX était vendue 21.500 F.

La 530 SX (1971) : Version économique qui se différencie par les quatre projecteurs fixes (les phares escamotables sont supprimés), les passages de roue élargis et le toit fixe. Les pare-chocs, les projecteurs et l’entrée d’air (sans encadrement chromé) sont en noir mat. À l’intérieur, la banquette arrière est supprimée et les sièges avant à dossier inclinable ont été remplacés par des sièges baquets. La SX était vendue 20.500 F.

9609 exemplaires vendus :

La Matra 530 n’allait pas tout à fait atteindre les 10.000 exemplaires, puisque sa carrière fut condamnée par l’accord pris entre Matra et Chrysler-Simca à la fin de 1969. En effet, les agents Simca ne pouvaient pas vendre des 530 propulsées par un moteur Ford dans leur concession. La production fut stoppée en 1973, et la succession fut prise par la Bagheera.

Caractéristiques Techniques : Voir brochure ci-dessous.

Prix de la 530 LX neuve en 1970 : 21.500 F soit 24.376 € avec 644% d’inflation.

Côte actuelle : à partir de 16.000 €.

Oldtimer – Volvo P 1800 (1959-72)

Le coupé Volvo P 1800 est une de ces voitures dessinées en Italie dont l’élégance résiste à tous les caprices de la mode. La Volkwagen Karmann Ghia en est un autre exemple. C’est d’ailleurs également le carrossier Ghia qui a dessiné le coupé Volvo, plus exactement le réputé Giaovanni Michelotti qui était alors son employé. Ce véhicule a été popularisée à l’écran par l’acteur Roger Moore qui jouait le rôle du détective Simon Templar dans la série TV “Le Saint.”

D’abord fabriquée en Angleterre : 

Le coupé P 1800 fut présenté en 1959. Son châssis était celui de la berline P 444 avec une puissance poussée à 85 ch. Son moteur fit une carrière internationale puisqu’il équipa un moment les Facel III françaises et les Marcos anglaises. Né en Italie, le coupé Volvo fut d’abord fabriqué en Grande-Bretagne, chez Jensen avec un grand nombre de composants d’origine anglaise.

Une carrière interrompue en plein succès :

En 1963, la fabrication du Coupé P 1800 fut reprise par l’usine suédoise. Sa fabrication se poursuivit jusqu’en 1973. Il était alors carrossé en “break” trois portes, avec une cylindrée porté à 2 litres et une alimentation à injection électronique. Sa carrière fut interrompue en plein succès, mais le modèle n’avait jamais été profitable pour la firme. Il avait cependant été construit à près de 40.000 exemplaires, dont plus de la moitié avait été vendu aux U.S.A.

Les différents modèles :

Volvo P1800 (1961-63) : La P1800 était équipée d’un 1,8 litres essence de 100 ch. Elle était fabriquée en Grande-Bretagne, chez Jensen.

Volvo P1800 S (1963-69) : En 1963, la production de la P1800 est rapatriée à Göteborg dans l’usine Volvo de Lundby. En effet, Jensen Motors avait des soucis au niveau du contrôle de la qualité des autos. Le contrat est rompu après 6000 voitures produites. La P1800 devient P1800 S (S pour Sverige, Suède en français) puis 1800 S en abandonnant ses pare-chocs à « moustache » pour des pare-chocs droits. Le moteur passe à 108 ch. En 1966, le moteur passe à 115 ch et atteint les 175 km/h en pointe. Puis en 1969, un 2 litres de 118 ch remplace le 1,8 litres précédant.

Volvo 1800 E (1969-72) : La P1800 connait le changement le plus important de sa carrière avec ce modèle. Son nouveau moteur 2 litres, expérimenté sur le modèle 1969, est équipé d’une injection électronique Bosch (système D-Jetronic). Associé à un nouvel arbre à cames, des soupapes plus larges et un taux de compression plus élevé, ce moteur, développe ainsi 130 ch SAE (120 ch DIN). Cela influera bien évidemment sur la vitesse de pointe annoncée à 190 km/h. La nouvelle boîte de vitesses de type ZF offre toujours 4 rapports avec overdrive de série. Une autre évolution mécanique concerne l’adoption de freins à disques à l’arrière cachés derrière de nouvelles jantes 5 pouces façon magnésium à boulons apparents. La nouvelle voiture, dorénavant appelée P1800E, se distingue également par : une nouvelle calandre noir mat (sauf l’entourage) et des ouïes de ventilation sur les ailes arrière.

Volvo 1800 ES (1972-73) : Ultime évolution du coupé P1800, cette série a réussi le tour de force de donner un second souffle à une lignée objectivement en fin de carrière. C’est en août 1971 que la P1800 connaîtra ainsi une refonte aussi tardive que décisive. Toute la partie arrière du modèle sera redessinée par les stylistes de la marque dans l’esprit du break de chasse Reliant Scimitar. Entrée en production au début de l’année 1972, cette Volvo d’un genre particulier ne connaîtra cependant qu’une carrière éphémère. C’est ainsi qu’elle sera retirée de production au mois de juin 1973, victime de son inadaptation chronique aux nouvelles normes américaines.

Caractéristiques Techniques : Voir notice ci-dessous.

Prix du modèle neuf en 1971 : 41.500 F soit 44.719 € avec 605 % d’inflation.

Prix d’occasion : à partir de 15.000 €.

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